Biologie
♦ Le médecin néerlandais Christiaan Eijkman tente désespérément de guérir ses patients d’une étrange maladie. Le béribéri était connu depuis longtemps dans les colonies hollandaises, mais les savants demeuraient incapables d’identifier la cause de la maladie. Comment on parvint à comprendre les causes et les effets du béribéri est une histoire pleine de détours et de rebondissements.
Eijkman et le béribéri
♦ « Il y avait beaucoup à faire, mais ils eurent une idée pour montrer comment le corps humain brûle la nourriture ». Le cheminement captivant par lequel la chimie permit découvrir l’un des principes de la physiologie.
Lavoisier et la respiration
♦ Lorsqu’Emma Muspratt, la fille de l’un des amis de Liebig devint tellement malade qu’elle ne pouvait même plus s’alimenter, Justus von Liebig essaya de produire un extrait de viande qu’elle puisse boire. Le résultat fut le précurseur de nos cubes bouillon.
Liebig et la nutrition
♦ « Le tristement célèbre scorbut », sans doute la maladie la plus connue dont les marins de tous les temps ont souffert… James Lind, médecin de la marine, put déterminer la cause du scorbut en usant d’une approche systématique : une étude expérimentale comparative sur ses patients.
Lind et le scorbut
♦ Le ministre bavarois de la guerre, Benjamin Thompson, doit trouver comment nourrir ses troupes à l’économie. Mais les pommes de terre, qui pourraient constituer la solution, ont mauvaise réputation.
Rumford et la nutrition
♦ Maria Sibylla Merian commença à observer les cocons des chenilles en les dessinant dès l’âge de 13 ans. Dix-neuf ans plus tard, elle publia son premier ouvrage dans lequel elle expose les principes de la métamorphose, l’illustrant de nombreux dessins. Quelques pistes sur la façon dont naquit la vocation de Sybilla pour l’illustration naturaliste et l’observation des chenilles et papillons.
Sybille et les cocons